Projet Mutant
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Réveil difficile après frousse monumentale
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Invité
Je n'avais presque pas dormit de la nuit et pourtant se n'était pas la fatigue qui m'écrasait qui m'empêchait de trouver les bras de Morphée, non ce qui m'avait empêcher de dormir se trouvait actuellement coucher contre moi. Je me trouvais de nouveau dans le lit de Maddy, pourtant, à cet instant, aucune idée sexuelle ne me traversait l'esprit, j'étais à mille lieux de l'état de notre rencontre. La première partie de la nuit je l'avais passé à la soigner, à l'écouter parler puis à l'aider à se détendre pour qu'elle puisse enfin s'endormir. Je m'étais alors allongé contre elle, incapable de la laisser et ne voulant pas m'éloigner d'elle plus que quelques minutes. Depuis je l'avais regarder dormir, je l'avais vu s'agiter et compris qu'elle devait rêver de ce qui s'était passé la veille. Comme je pouvais m'en vouloir de ce qui s'était passé, je l'avais mêler à une mission et j'avais mis sa vie en danger. Je la connaissais peu, même pas du tout en faite car en excluant la nuit que nous avions passé à faire l'amour, hier était notre premier vrai moment ensemble. Pourtant, quand je la voyais, quand je pensais à elle ou quand sa voix filait à travers le téléphone, je ne pouvais expliquer ce sentiment qui me prenait à la gorge, ou du moins, je ne voulais pas me l'expliquer, moi qui n'avais jamais cru au coup de foudre, me voilà je le craignais fort en train de craquer pour une inconnue. Je restais donc là allongé sur le dos, Maddy lover contre moi, regardant sa main posé sur mon torse se soulever au rythme de mes respirations.

Finalement aux petites heures du matin, je m'étais assoupis à mon tour, d'un sommeil léger et pas réellement réparateur car dans mon rêve la scène de la veille se rejoua encore et encore, mais chaque fois avec une fin totalement différente, rajoutant encore à l'horreur de la situation. Heureusement, à un moment donné, je sentis Maddy s'agite à côté de moi, cela me ramena à la réalité. Je sortis du sommeil groggy et un peu perdu, mais soulagé de ne plus me retrouver dans ce couloir. Je me redressais aussitôt et me tournais vers elle. Elle était toute pale, elle semblait effrayée et je lui souris avec tendresse, prenant sa main dans la mienne pour en embrasser la paume avec douceur. Tout va bien ma belle, tu es en sécurité. Avec lenteur je lui ouvrit les bras et la serrait contre moi, je ne voulais pas la brusquer, il faudrait bientôt que je regarde ces côtes et que je refasse le bandage, mais pour le moment, je voulais juste la tenir dans mes bras.
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Ven 28 Oct - 20:50
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Invité

Zephyr & Maddy

Le simple fait de respirer me faisait mal, j’étais assez sûre d’avoir de nouveaux de côtes fêlés. Mais ce n’était pas non plus comme si j’avais pris… Un mur sur moi… Plus précisément des morceaux de mur. Je n’en voulais pourtant pas aux filles, j’étais juste contente de sortir de là. Je n’avais même pas été capable de marché, mais à vrai dire, Zephyr ne m’en avait pas vraiment laissé le choix. Une fois que j’avais été libérée des débris j’avais retrouvé la protection de ses bras. Il avait bien tenté de m’emmener à l’hôpital mais j’avais refusé. J’ai un mal de crâne monumental et je savais qu’ils voudraient me garder pour la nuit. Je n’en avais vraiment pas la force et j’avais simplement eut envie de rentrer chez moi et de retrouver Judith. J’avais cependant assez rapidement compris que Zephyr ne comptait pas me laisser. Ce qui était assez compréhensible a vrai dire et je n’avais pas parlé du fait que j’avais une fille et je n’en avais pas l’intention pour le moment. Après tout, cette visite guidé devait être notre premier rendez vous… Mais apparemment rien ne devait être normal entre nous deux puisque rien ne l’avait été depuis la seconde même où nous nous étions rencontrer… Je commençais aussi à croire que je ne devais pas rester en bonne santé très longtemps. D’une façon ou d’une autre, je me retrouvais toujours avec des côtes fêlés et des bleus un peu partout sur le corps… Es que c’était vraiment le prix à payer pour les plus belles parties de jambe en l’air de ma vie ? Aucune idée et je ne me posais pas vraiment la question. J’avais profiter d’un moment seule pour envoyer un message et m’assurée que Judith resterait en sécurité jusqu’au moins le lendemain soir quand je pourrais m’occuper d’elle sans l’alarmé par ma condition physique actuel.

Zephyr avait été un véritable amour toute la soirée. Je ne lui avais pourtant pas révélé grand-chose sur moi et pourtant il m’avait écouté avec patience et il s’était occupé de moi pour me soigner. Quelque chose devait bien clocher quelque part, même si je ne le voyais pas encore et que je ne cherchais pas vraiment à chercher. J’étais bien trop fatiguée pour luter et chercher ce qui pourrait mal tourner. Je m’étais donc endormie tout contre lui, appréciant ce que je n’avais pas eut depuis longtemps : quelqu’un pour veiller sur moi.

Ma nuit n’avait pas vraiment été de tout repos. J’étais épuisée mais la fin de journée me hantait plus que je ne l’aurais voulu. Mais je dus finir dans un sommeil plus profond puisque lorsque je me réveillais, j’avais l’impression de n’avoir fermer les yeux que quelques secondes. Je n’ais plus que mes premiers rêves en tête et l’idée de revoir mon père pencher sur moi me terrifiait. J’avais beau agir comme si rien ne m’atteignait, tout faire pour rendre sa vie un enfer et réduire son projet en poussière, avoir vécu avec lui m’avait bien plus marquer que je ne le laissais croire. J’avais eut peur qu’en ouvrant les yeux je me réveille d’un rêve où j’essayais de rendre cette ville meilleure qu’elle ne l’était réellement, que tout ça n’ai été qu’une fiction de mon imagination. Mais ce n’est pas le regard de mon père que je croisais, c’était bel et bien celui de Zephyr. Il dût lire la panique au fond de mes yeux puisqu’il m’accueilli dans ses bras en me rassurant. Je ne réfléchie même pas pour me lover contre lui en posant ma tête sur son torse et en passant mon bras au dessus de lui. Je ne savais même pas pourquoi sa présence avait le don de m’apaiser et pourtant c’était bel et bien le cas.

Je fus tout de même tirée de mes pensées quand je sens les draps se tirer très légèrement avant de sentir quelque chose se lover contre mes jambes. Soit je ne l’avait pas entendu ouvrir là porte, soit il avait été extrêmement discrète. Dans les deux cas là présence du chien me fit sourire et me rassura un peu plus, me permettant de me détendre à nouveau. J’en profitais pour me serrer doucement contre lui en relevant la tête pour le regarder.

Merci… D’être resté.

©Tagada
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Ven 28 Oct - 23:14
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Je me sentais serein alors que je la tenais là dans mes bras. J'avais eut tellement peur pour elle la veille que même la quitter des yeux à cet instant faisait remonter des bouffées de panique. Elle s'installa le plus confortablement possible contre moi et je la sentis se détendre petit à petit. Doucement je lui caressais le dos, n'appuyant pas trop pour ne pas lui faire mal. Je somnolais tranquillement, je me serais même surement rendormis si le chien ne nous avait pas rejoint, il s'installa à nos pieds et je souris doucement alors que Maddy prit la parole. Je lui embrassais le front tendrement. Rien n'aurait pu me faire partir ma belle. Je lui remis une mèche de cheveux derrière l'oreille souriant doucement avant de relever la tête à mon tour pour capturer ces lèvres. Le baiser était tendre, doux et j’espérais ainsi pouvoir faire passer tout ce que je ressentais pour elle et que je n'arrivais pas encore totalement à m'expliquer moi-même. Comment tu te sens ? Même si je m'étais détendu depuis son réveil, j'avais encore peur pour elle, elle n'avait pas voulu aller à l'hopital et même si j'avais quelques connaissances, je n'étais pas médecin.

J'attendais sa réponse avec impatience, mais je comptais bien m'en assurer moi-même, en lui refaisant le bandage tout à l'heure. En attendant je comptais bien la câliner, prendre soin d'elle et de profiter de chaque instant en sa compagnie. Je la fis basculer lentement sur le dos, me posant légèrement au dessus d'elle mais sans jamais m'appuyer sur elle. Il faudra que je refasse ton bandage et si tu veux je pourrais t'aider pour prendre ta douche. Je ne pus m'empêcher d'avoir un petit sourire coquin en invoquant la douche, car après tout la dernière fois avait été très chaude dans sa salle de bain et même si je savais qu'il n'y aurait rien de sexuel entre nous aujourd'hui, le souvenir de cette nuit là était plus que plaisante. Je l'embrassais alors dans le cou, lentement je pris le temps de l'embrasser sur chaque centimètre de peau qui était proche de moi. Respirant profondément je m’imprégnais de son parfum qui aussi étrange que cela puisse paraître m'était déjà devenu totalement familier. Je me redressais alors pour lui faire face, souriant un peu facétieux. Et si tu es sage je te ferais un bon petit déjeuner aussi. Bon là j'avoue s'était à ces risques et périls car je n'étais réellement pas un bon cuisinier, mais je pouvais quand même lui faire un café et quelques tartines.
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Mar 1 Nov - 22:17
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Zephyr & Maddy

Mon cœur ne battait pas spécialement vite mais je pouvais sentir chaque battement dans ma poitrine. Tout autant qu’avais put entendre son cœur battre quand ma tête était restée sur son torse. Comme une douce mélodie associée à ses caresses dans mon dos, à la chaleur de sa peau contre la mienne, ses lèvres sur ma peau. Je me sentais parfaitement en sécurité dans ses bras et le sentiment n’en était que renforcé par son baiser. Je savais que je n’avais absolument rien à craindre tant qu’il restait au prêt de moi.

Je me sens… Comme si on m’avait enfermer dans une pièce totalement noir et qu’on avait fait exploser un mur pour me faire sortir que j’avais volé à travers la pièce et que des débris du mur avait atterri sur moi…

Ce qui était un assez bon résumé de l’après midi de la veille. Même si j’avais laissée de côté ce qui m’avait réellement terrifié : les visions de mon père. Je savais que c’était ridicule et qu’il ne pouvait plus autant m’atteindre qu’avant mais parfois j’avais encore l’impression qu’il avait encore de l’emprise sur moi et sur tout ce que je pouvais faire. Mais Zephyr au dessus de moi m’apportais la distraction donc j’avais vraiment besoin. Je glissais ma main sur sa joue pour dessiner son sourire, je savais parfaitement ce qu’il avait en tête et pour une fois je me permettais d’y penser librement sans risquer de choque ma fille. Je laissais s’échapper un petit son d’approbation pendant que ses lèvres ne parcouraient ma peau. Je constatais à nouveau l’effet qu’il pouvait avoir sur moi et je me félicitais d’avoir prit les précautions nécessaires pour avoir la maison vide. Je ne revins qu’à la réalité que lorsque ses lèvres quittaient ma peau et qu’il se redressa pour me regarder. Je lui rendis son sourire, n’ayant pas vraiment oublié l’aide qu’il m’avait fourni dans la cuisine la dernière fois qu’il était venu ici.

Tu sais, tu n’as pas besoin de prendre mes bandages comme excuses pour me toucher… Mais je ne dirais pas non à un bain…

J’avouais que c’était assez taquin de ma part et cela me surprenait un peu puisque je n’étais jamais ainsi. J’avais été une fêtarde et une rebelle comparée aux attentes de mon père mais je n’avais jamais été libre et ouverte sur ce genre de sujet. Spécialement depuis que j’avais récupéré et adopté Judith. Mais je me surprenait maintenant le regard poser sur lui et plein de sous entendu. Je déposais ma main sur sa nuque pour l’attirer vers moi afin de pouvoir l’embrasser.

Et si je ne suis pas sage ?

©Tagada
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Mer 2 Nov - 19:51
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Je soupirais quand elle me décris comment elle se sentait, je me sentais coupable de ce qui lui était arrivée. Je n'avais pas su la protéger, pire, j'avais laissé les mutants prendre les choses en main et elle avait été blessé, elle aurait pu mourir derrière ce mur. Bon d'accord, je devais avouer que j'avais quelque peu paniquer, je ne m'étais jamais attacher autant à quelqu'un qu'à Maddy et la voir en danger comme ça, m'avait complètement chambouler et heureusement que les deux mutantes étaient présente sans quoi j'aurais finis par tirer dans le mur et je l'aurais sans doute tuer. Je posais mon front sur le sien pour me contenir, mais la peur devait se voir sur mon visage. J'ai eu la peur de ma vie quand tu m'as été arraché des bras. J'ai crus que j'allais perdre la tête. Voilà une bonne chose exorciser ce qui était arrivé pour pouvoir passer à autre chose et profiter du temps que nous avions à être ensemble avant que le boulot ne me rappelle.

Je me sentis mieux après lui avoir avouer, me permettant de me montrer câlin et même peut être trop entreprenant alors qu'elle devait avoir mal. Enfin, cela ne sembla pas la déranger et au contraire elle me taquina avec ça. Je me mordis la lèvre un instant, son invitation était plus qu'explicite et je l'embrassais fougueusement avant de me redresser doucement. Alors pour ce bain, il va falloir que je te retire tout ça. Et crois moi, tu vas être toute sage mon amour Bon elle n'était pas non plus super habillé non plus, mais j'allais avoir le plaisir de pouvoir lui enlever et cela me plaisait. Je pris un malin plaisir à remonter son débardeur avec lenteur, dévoilant sa peau petit à petit, du moins jusqu'à son bandage qui barrait son ventre sous sa poitrine. Je m'arrêtais un instant de nouveau sérieux. Tu as mal ? J'effleurais le coton du bout des doigts avant de complètement enlever son t-shirt, laissant ces magnifiques seins à ma vue, je retrouvais alors le sourire ma main empaumant l'un d'eux un instant et mon pouce en effleurant le téton.

Je l'observais alors, j'aimais son visage quand la tension sexuelle montait, elle était alors encore plus belle qu'auparavant. Pourtant, même si l'envie d'aller plus loin me taraudait, j'avais tout de même une mission, celle de m'assurer que tout allait bien, alors quittant son sein je commençais à défaire le bandage et grimaçais quand je vis l'hématome qui recouvrait ces côtes. Je me baissais lentement et embrassais en douceur le bleu comme si mes baisers pouvaient être magique.
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Mer 2 Nov - 22:35
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Zephyr & Maddy

Comment ne pas fondre avec ce genre de phrase ? Il avait vraiment le dont de dire et faire exactement ce qu’il fallait quand il fallait. Et a vrai dire, c’étais assez rassurent de savoir qu’il existait encore des personnes comme lui. Cela ne faisait que deux semaines que nous nous étions rencontré et on ne pouvait pas dire que celle-ci avait été des plus conventionnel. Mais c’était presque à croire que nous étions destiné à croiser des mutants à chaque fois que nous étions à l’extérieur et que j’étais destinée à finir blessée. Pile quand je finissais tout juste la guérison de mes blessures de notre première rencontre. Je pouvais voir la culpabilité dans le fond de ces yeux, comme s’il était responsable de ce qui s’était passer. Mais qui aurait pût prévoir ce qui s’était passé la nuit dernière. Je pouvais cependant comprendre ce qu’il ressentait puisque j’agissais de la même manière par rapport à ce que Judith avait vécu au Fort.

Cette pensée fût chassé de mon esprit lorsque le sujet de la conversation revint sur mes blessures la réaction à mes paroles était immédiate, c’était adorable de le voir se mordre la lèvre et je me demandais quelles idées pouvait bien passer par son esprit. J’étais curieuse et ni ses actions, ni ses paroles n’apaisait ma curiosité, bien au contraire. Je lui rendais son baiser et je le laissais me manipuler. Chacun de ses gestes me confortais dans l’idée qu’il pouvait me faire ce qu’il voulait sans que je ne proteste, ce qui fût une fois de plus confirmer part ses doigts sur ma peau. J’avais l’impression de m’enflammer à chaque contacte entre nous. C’était une torture et pourtant je n’avais aucune envie qu’il s’arrête. Je me retrouvais à replonger dans les mêmes sensations que cette nuit-là deux semaines plus tôt. Cette fois-ci ce fut mon tour de me mordre la lèvre et je ne me rendis même pas compte qu’il retirait mes pansements, je ne sentais que sa peau contre la mienne. Je refermais mon poing dans ses cheveux, bien que ceux-ci soit courent, la prise été suffisant pour pouvoir l’attirer vers moi sans non plus lui faire mal.

Je t’ai déjà dit d’arrêter de me taquiner…

Je plongeais mon regard dans le sien et je laissais glisser ma main libre sur son torse jusque son ventre pour passer ma main sous son t-shirt. Sans le quitter des yeux, je redécouvrais son corps d’un simple touché, attardant un peu mes doigts sur son abdomen en remontant lentement vers son torse en prenant le temps de suivre le dessin de ses muscles.

©Tagada
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Dim 6 Nov - 20:21
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Jeu 1 Déc - 14:56
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Zephyr & Maddy



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Sam 17 Déc - 2:45
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Sam 18 Fév - 18:00
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Zephyr & Maddy



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Dim 19 Fév - 4:53
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Lun 20 Fév - 15:05
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Zephyr & Maddy



©Tagada
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Mar 21 Fév - 23:44
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Mer 22 Fév - 21:42
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Zephyr & Maddy



©Tagada
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Jeu 23 Fév - 0:41
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Ven 24 Fév - 13:24
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